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SECRET DE LA FECONDATION

  Tout savoir sur la fécondation 
 
La fécondation est ce moment unique où de l'union des gamètes féminine et masculine va jaillir un nouvel être. Où, quand, comment cela peut-il se faire ? 

  Où et quand se passe la fécondation ?
La fécondation, si elle a lieu, se passe dans le tiers externe d'une des deux trompes de Fallope (voir les organes génitaux) de la femme.
Quand peut-elle se produire ? Au moment de l'ovulation et pendant la courte vie de l'ovule estimée de 12h à 24h à peine. Pour que cet ovule, la cellule sexuelle féminine, soit fécondé par un spermatozoïde, il faut qu'un rapport sexuel ait lieu à ce moment ou dans les jours qui précèdent : les spermatozoïdes peuvent en effet vivre plusieurs jours à l'intérieur de l'appareil génital féminin grâce à la présence de glaire cervicale. Cette glaire, produite par les cryptes du col de l'utérus protège et conserve les spermatozoïdes qui sont déposés au fond du vagin, dans le sperme, lors d'un rapport sexuel. Elle leur permet aussi de se déplacer et de remonter par paquet vers les trompes, où la rencontre pourra se faire à l'arrivée de l'ovule. En l'absence de glaire fertile au contraire, les spermatozoïdes meurent rapidement dans le milieu acide du vagin. 

  Comment se fait la fécondation ?
Comparé à l'ovule qui est circulaire, les spermatozoïdes sont de minuscules cellules formées d'une tête et d’un flagelle, sorte de queue qui assure leur mobilité. Lorsque l'ovule est libéré par l'ovaire dans le pavillon de la trompe, des milliers de spermatozoïdes sont présents à l'entrée du col. Chaque seconde, mille d'entre eux arrivent dans la trompe. Or un seul pourra féconder l'ovule. Une course de vitesse s'engage alors : avec sa tête, chaque spermatozoïde libère des enzymes qui dégagent les milliers de cellules nutritionnelles qui entourent l'ovule. Ce n'est qu'à la fin de ce travail de forage, que la tête du vainqueur peut pénétrer à l'intérieur de l'ovule : dès cet instant, la membrane pellucide qui entoure la cellule féminine se fige et verrouille, empêchant toute nouvelle pénétration. La fécondation est faite.
 
La première cellule de l'être humain
Le patrimoine d'un nouvel être humain se scelle alors : chaque cellule, celle issue du père et celle de la mère, apporte dans son noyau 23 chromosomes qui se mêlent deux par deux pour former une nouvelle cellule humaine, riche de 46 chromosomes organisés par paires. C'est la première cellule du nouvel être. D'elle va découler un fantastique dynamisme de croissance qui donnera un homme ou une femme aux cent mille milliard de cellules. Mais toutes auront toujours le même capital génétique que celui de cette première cellule.
 
La première division cellulaire
  Cette première cellule commence alors à se diviser en deux cellules identiques à la première. Puis chacune de ces deux cellules se divisent à leur en 4, 8, 16 cellules qui s'agglutinent entre elles jusqu'à ressembler à une petite mûre, d'où son nom latin de morula. C'est à ce stade précoce que peut se produire une division particulière qui amènera le développement de deux êtres au lieu d'un à partir du même patrimoine génétique : il s'agira de vrais jumeaux

  La migration le long de la trompe
En même temps que se produisent ces divisions cellulaires, l’œuf évolue doucement le long de la trompe. Il est poussé par de minuscules cils vibratiles qui le dirigent vers la cavité utérine, comme un tapis roulant. S'il ne pouvait atteindre cet abri, il ne pourrait poursuivre sa croissance : une grossesse extra-utérine (GEU) commencerait en effet à se développer dangereusement dans la trompe qu'elle ferait exploser...
Mais en général, le voyage se fait sans encombre. Au bout de 7 jours environ, il arrive à bon port dans la cavité utérine. Et sa mère ne sait toujours pas qu'il est là.

 La nidation ou l'installation dans l'utérus
Au bout de 7-8 jours, il est parvenu à bon port : il se fixe dans la muqueuse qui tapisse l'intérieur de l'utérus et qui s'est préparée pour le recevoir dans la seconde partie du cycle, sous l'action de la progestérone. A ce stade une muqueuse insuffisamment préparée du fait d'une action hormonale (pilule) ou de la présence d'un stérilet peut donc provoquer sa mort.
Un phénomène extraordinaire se produit alors : les défenses immunitaires de la mère ne rejettent pas cet étranger comme cela se passe pour toute autre intrusion d'un corps dans un autre. Il peut donc s'enfoncer profondément dans la muqueuse jusqu'à ouvrir les vaisseaux sanguins maternels pour puiser les éléments nutritifs qu'il lui faut.
Et il prend même la direction des opérations : il produit une hormone chorionique nommée Hcg qui se répand dans le sang de la mère et prévient le corps jaune de sa présence : celui-ci continue donc à vivre et à produire la progestérone qui tiendra le col fermé durant toute la grossesse et maintiendra la muqueuse en place. Les règles ne vont pas arriver, et l'hormone Hcg pourra être retrouvée dans les urines de sa mère, qui va s'apercevoir qu'elle est enceinte (lire notre article).

Le début de la grossesse
 La grossesse est bien en route. L'embryon va se former rapidement, se différencier et entamer une croissance étonnante à l'intérieur de l'utérus. Ce muscle creux, souple et extensible, va s'adapter à la croissance de l'enfant en grandissant avec lui. Il va rester fermé et bouché par une glaire collante qui va constituer un bouchon protecteur. Neuf mois plus tard, quand l'enfant sera à terme, les premières contractions provoqueront l'expulsion de ce bouchon et l'ouverture du col. Une autre partie de l'aventure.
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TROUBLES DU DESIR CHEZ L'HOMME



Comment gérer le trouble
 
Alors que toutes les conditions sont apparemment réunies pour que des couples puissent goûter aux plaisirs que le Tout-puissant a bien voulu leur octroyer ici-bas, ne voilà-t-il pas que ces messieurs (pourtant en bonne santé) les snobent ! Nous souhaitons évoquer ici le problème posé par la placidité de certains hommes dans l’intimité. Nous n’évoquons pas le problème de l’impuissance, qui consiste plutôt en une faiblesse érectile, mais celui de trouble de désir, c’est-à-dire un manque de libido. Ils ne pensent pas au sexe, n'ont pas de pulsions sexuelles ou ne semblent pas en avoir. Ils sont en couple depuis peu (deux ans maximum), mais par flemme ou par inhibition, n’honorent pas leur femme. Ne les assimilez pas aux asexuels, qui assument leur désintérêt pour les relations sexuelles, ni aux célibataires qui ont un planning trop chargé pour pouvoir y caser un peu de sexe… Les hommes dont nous allons vous parler sont en couple et ont un rythme de vie normal voire cool. Ils n’ont pas d’excuse légitime et raisonnable pour fuir leur devoir conjugal. Paradoxalement, ces hommes-là vous diront qu’ils n’ont rien contre l’idée d’avoir une activité intime régulière. Cependant, en pratique, c’est différent : ils sont impassibles face à un string orné de plumes sexy qui s’agite sous leur nez. Pour ceux qui préfèrent les définitions médicales, disons qu’ils souffrent de trouble du désir sexuel hypo actif. Celui-ci se définit comme étant "une déficience ou absence persistante et répétée de fantaisies imaginatives de type sexuel et de désir d'activités sexuelles.". Toujours est-il que certaines femmes souffrent de l’absence de désir de leur partenaire et elles osent briser le silence. Voici deux témoignages :
Jenna (pseudo) : "J’ai dû apprendre à mon mari que la sexualité était importante dans un couple. On ne faisait l’amour qu’une à deux fois par mois au tout début de notre relation. Je l’ai alors menacé de le quitter s’il ne faisait pas d’efforts. Pour moi, le minimum syndical est d’une fois par semaine. Et, fort heureusement, à force de patience et d’amour, nous sommes arrivés à un quota de deux à trois fois par semaine ! Si j’avais des conseils à donner aux femmes qui rencontrent ce problème, c’est de faire preuve de patience avec leur homme et de porter des sous-vêtements sexy, ça les émoustillent !". Jenna a réussi à décoincer son homme et c’est heureux pour son couple. Mais toutes les femmes n’ont pas la patience nécessaire pour gérer une telle situation, qui exige également une bonne "coopération" entre les partenaires, pour reprendre les termes militants de Jenna.
La souffrance que peut ressentir une femme face au manque de désir de son partenaire, s’exprime tout à fait dans le triste témoignage qui suit. Celle dont le pseudo est Sandra, nous explique que l’homme qu’elle a épousé il y a presque deux ans, ne pense qu’à une chose en rentrant du travail : Enfiler un pyjama et s’affaler dans le lit conjugal dès 17 heures, mais pour regarder la télé seulement. Et rien d’autre. Elle a beau essayer de rallumer la flamme du désir de son mari, ce dernier ne semble pas y prêter la moindre attention : "Mon mari n’est sûrement pas un chaud lapin. Porte-jarretelles, strings et autres nuisettes en satin y sont passés, mais cela n’a rien changé, je dors toujours aux cotés d'un iceberg !", explique la jeune femme, lasse. Son ironie peut vous faire sourire, mais Sandra en vient à douter de la solidité de son mariage : "Ne riez pas, c'est sérieux", ajoute-elle, "et je me pose énormément de questions sur l'avenir de notre couple. En plus, j’aimerais avoir des enfants avec lui un jour. Alors je me dis que ‘cela’ finira par lui manquer. J’ose y croire encore et encore…", conclut Sandra, proche du désespoir. 

Une explication psy : Le mari qui rentre du boulot et qui s’affale aussitôt dans le lit conjugal est sans doute stressé la journée, et, en rentrant à la maison, il décompresse. Le lit lui sert de cocon réconfortant, qui lui donne la fausse impression de diminuer son niveau d’anxiété. Cela est vrai sur le moment, mais le fond du problème n’est pas réglé ainsi. Pour améliorer les choses, il faut que le mari soigne son anxiété. Il serait vain de vouloir l’empêcher de s’affaler sur le lit lorsqu’il rentre du travail, s’il ne prend pas lui-même conscience que ce n’est pas une bonne réponse à son anxiété. Et ce n’est qu’après avoir résolu ce dernier problème que l’on pourra résoudre celui qui y est lié, à savoir le manque d’intérêt pour les relations sexuelles. D’une façon générale en effet, le stress a un mauvais impact sur le désir sexuel. Avis d’un homme (indigné) : "Des témoignages comme ceux-là me laissent pantois. Moi, j'ai le problème inverse... C'est moi qui suis plus demandeur qu'elle. Qui sont ces types qui ont la chance d'être sollicités et qui, face à une demande d'affection, la refusent comme des idiots (désolé) ? Et dire que moi, je me fais rembarrer par ma femme ! Comme quoi, la vie est mal faite parfois !".

Les raisons possibles de l’absence du désir sexuel

 Vous partagez l’intimité de votre partenaire depuis peu de temps et il ne vous semble pas très porté sur la chose, alors que vous devriez en être au stade passionnel ? Il se peut qu’il soit inhibé. L’inhibition peut être à l’origine du dégoût ou de la peur qu’il éprouve pour la sexualité. Inconsciemment, il croit que le sexe est dangereux. Il fait alors un blocage pour se défendre de ce danger. Ce qui lui fait peur, c’est que l’activité sexuelle est instinctive, or l’idée de ne pas pouvoir maîtriser ses instincts lui procure une angoisse de castration. L’instinct sexuel n’est pas soumis au contrôle de la volonté, ce qui lui cause une crainte de ce qui pourrait arriver s’il cédait au désir. La psychologie humaine est décidément compliquée !
Et selon de nombreux sondages, les hommes qui connaissent une absence de désir sexuel sont plus nombreux qu’il y a une vingtaine d’années. Il y a plusieurs raisons plausibles à ce problème. Elles peuvent être de nature sexuelle : l'éjaculation précoce ou la difficulté à avoir une érection, peuvent créer des complexes chez l’homme. Ne pas éprouver de désir sexuel est alors un moyen pour lui d’éluder le problème qui le complexe. Les causes possibles sont aussi liées à d’autres difficultés qui ne sont pas de nature sexuelle : peur de l'intimité, difficulté à s'affirmer, peur de la femme ou hostilité envers elle. Lorsque l’on parle de "peur de la femme", cela signifie que l’individu a tendance à l’idéaliser, avec souvent une crainte associée, qui est de ne pas la satisfaire.

Pour remédier aux problèmes
L’homme doit, tout d’abord, prendre conscience de ses propres blocages, tenter d’en analyser les causes profondes : "Il fait trop chaud/froid en ce moment, je n’ai pas envie", n’est pas la cause véritable ! Les causes profondes peuvent être individuelles : Stress, anxiété, dépression ou autre trouble psychologique, mauvaises expériences sexuelles passées, manque de connaissances sexuelles, peur de l'engagement... Elles peuvent également être culturelles : Education excessivement répressive sur les questions de sexualité, apprentissage inadéquat concernant la communication intime et l'expression de sentiments amoureux; sensation de honte et de culpabilité dus, entre autres, à des interdictions familiales, culturelles et religieuses.

- Le partenaire peut avoir recours à des techniques de lâcher-prise du mental (méditation, relaxation), comme pour les problèmes d’insomnie.

- Il peut apprendre à avoir une image positive de la sexualité tout en faisant la part des choses entre la sexualité vécue au sein du couple, qui fait intervenir de vraies émotions, et celles des images porno-crado, qui ont pour but de provoquer une excitation exacerbée mais superficielle du sens visuel. La vraie sexualité est beaucoup plus riche et intense, puisque tous les sens sont stimulés et pas seulement la vue : le toucher, le goût, l’ouïe, l’odorat sont stimulés lors des relations charnelles, et les sentiments amoureux sont aussi présents.

- Enfin, pour redonner de l’intensité à un désir érodé, on peut avoir recours à des fantasmes sexuels. "Plusieurs études montrent que ces derniers contribuent, au sein d'un couple, à maintenir un intérêt sexuel et à stimuler les activités sexuelles", selon Dr Wandja Eugénie, sexologue clinicienne. Prenez-en bonne note !



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METTRE UNE FEMME DANS SON LIT !



 Que vous soyez un jeune célibataire ou un homme qui commence à perdre espoir de voir sa femme lui sauter dessus, ces conseils vont vous aider à inciter votre dulcinée à passer une soirée torride. Condition indispensable : Il faut que vous lui plaisiez un minimum... On ne fait de miracles (désolé). Le but de la manoeuvre est d'exciter sa curiosité - et de l'exciter tout court bien sûr - en l'emmenant à se demander : "Mais pourquoi il n'insiste pas lourdement pour que nous fassions l'amour ?". Rien de plus efficace pour rendre dingue une femme que... de vous faire désirer, messieurs. 

La technique

1. Trouvez un prétexte quelconque pour vous promener en tenue très légère (en sous-vêtements ou nu avec une serviette autour de la taille) sous ses yeux, tout en sifflotant, l'air ailleurs. Ne pavoisez pas en disant "Tu vois comme je suis musclé ?", non, ayez l'air innocent, en sortant de la douche bien beau et rasé de près. Puis faîtes comme si vous ne vous étiez pas aperçu qu'elle vous reluquait. Laissez-là vous mater en douce et imaginer des choses inavouables ! 

2. Avant le grand Soir, soyez romantique, offrez-lui des fleurs ou soyez tout simplement à l'écoute, ne la barbez pas avec le match de foot que avez regardé la veille et épargnez-lui les détails de votre intimité intestinale (un vrai tue-l'amour). Et surtout, créez un climat de confiance : Ayez l'air détendu et pas pressé de "conclure". 

3. Offrez-lui un petit cocktail maison avec de la menthe et du gingembre, des aphrodisiaques plutôt efficaces, surtout sur une femme qui a déjà un peu envie de faire l'amour : Intéressant pour attiser le feu !
4. Faîtes-lui des compliments aphrodisiaques (excitants) : les femmes réagissent au désir que l'on éprouve pour elles. Si elles se sentent belles et désirables, elles se livreront beaucoup plus facilement et oseront exprimer leur sensualité. Vous comprendrez que les flatter avec un classique "T'as d'beaux yeux, tu sais", à la Jean Gabin, est très efficace sur leur libido. 

5. Un brin de sadisme pour lui faire perdre patience : Murmurez-lui à l'oreille que vous la trouvez belle et sexy, et que vous avez très envie d'elle, mais que vous ne voudriez pas la bousculer en lui sautant dessus comme un sauvage. Insistez bien sur l'intensité de votre désir et appuyez le regard sur certaines parties de son corps tout en lui effleurant délicatement le bras ou la cuisse. Résultat : Soit, exaspérée que vous ne passiez pas à l'action, elle vous sautera dessus, soit elle vous dira "Mais qu'est-ce que tu attends...?!". Et là, vous avez gagné.

Le BA-BA du gentleman (pour que l'on se souvienne de vous en bien) :

  - Ne flattez jamais la beauté d'une autre femme en présence d'une femme que vous convoitez : Non seulement c'est un manque de savoir-vivre mais cela refroidit tout de suite une femme, même si elle vous désire.
- Evitez de lui faire comprendre directement ou de façon implicite que vous êtes "un bon coup" : Ne vous vendez pas comme un morceau de viande, c'est ridicule et ça fait très macho à l'ancienne (du genre : "avec moi, tu vas monter au 7e ciel chérie ! Hé hé hé !").
- Evitez de lui parler de vos nombreuses expériences sexuelles passées avec fierté. Cela donne l'impression à une femme que vous voulez l'ajouter à votre tableau de chasse, pas que vous vous intéressez spécifiquement à elle, la pauvre.
- Avoir une mauvaise haleine, une hygiène douteuse... Pas besoin de vous faire un dessin, une hygiène négligée n'est pas sexy. Inutile de vous astiquer avec de la soude caustique, mais un minimum d'hygiène est indispensable pour donner envie de partager votre intimité...
- Ne soyez pas grossier au lit ! Sauf si vous connaissez la femme avec laquelle vous souhaitez passer du bon temps et que vous êtes sûr qu'elle appréciera votre audace ("Oh ouiiiii, excite-moi, coquiiiiiiiine !"...), évitez d'être grossier pour ne pas vous prendre une veste (ou un escarpin plutôt). Evitez, dans le même genre, de répondre au téléphone pendant que vous faîtes l'amour... Mais cela va de soi.